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Bientôt sur vos écrans... la saison 4 de Cas d'éclat aux facultés !
Avec de nouveaux personnages (et notamment la présence exceptionnelle de Madame Yop), de nouvelles intrigues (dans le monde des morveux), de nouveaux défis (faire les courses sans rien oublier).
Restez branchés !
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Boum. Haaaaaanoui, oui ! Boum. Ouiiiiii !
Les résultats de mathématiques tombèrent. Ils étaients assez inespérés. Puis ceux de géographie. Aussi.
Voulez-vous du quantitatif ? Allons-y, détaillons. Je fais ça bien et tout.
(Coef) Matière : Note (/200 puis /20)
Mathématiques-informatique (les matières dures ce sont les maths, hein)
(9) Algèbre 2 : 106
(9) Analyse 2 : 108
(6) Informatique théorique 1 : 165
(3) Anglais : 151
(3) Épistémologie et histoire des mathématiques : 140
(À noter que la fac de maths a réussi à se planter dans la moyenne. OUI. Je vous donne donc la bonne, celle pas amputée de dix points : 126.)
Géographie (chez les gens gentils (et qui notent sur 20 comme tout le monde))
(9) AGAE Aménagement-Environnement 1 : 12,75
(5) Interactions S/M : 13
(4) Méthodologie 3 : 14
(3) Réseaux : 14
(3) Espagnol : 14
(3) Populations et sociétés : 11 (et pas 10, hein, madame qui saisit les notes)
(3) PPE 2 : 16
ET (héhé) 0,3 points de bonus badminton.
(Ce qui nous fait, sans erreur, une moyenne de 13,7. Vivent les gentils.)
Et vivent les fins de saisons passionnantes.
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J'attends la nuit autant que j'espère le jour,
Tout ce que Morphée m'offre je le coffre en un tour
Au fond de mes méandres en tête j'ai la clé
Qui crée de hautes herbes au sein de mes pensées.
Trépassés sont les sons que j'avais ouï de vous,
En sépia les images qui agrémentaient tout,
Surannées les odeurs issues du plus profond,
De poussière viennent les goûts, lointaines les sensations.
Et tout cela s'infuse en un mélange épais
Qui émane et s'enfuit, volutes de fumée.
Si le plafond est noir, c'est d'avoir trop dormi
Envoyant là en l'air l'à-dire et le non-dit.
Passent les heures allongées que je passe à longer
Les prés de rêves perdants que j'aimerais effleurer,
Les champs de cauchemars qu'il faut bien dépasser,
Et ce ciel inconnu sans nuages ni nuées.
Viendra bien le réveil pour ôter la torpeur
Dès le rai de lumière, dès la moindre lueur,
Ou au son de la force, de manière brutale
Mais bientôt à nouveau anesthésié local.
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Le flashback se termine. Le héros est en plein amphithéâtre, entouré d'apprentis mathématiciens se concentrant pour composer. Lui-même semble avoir une lueur de regret dans les yeux. Et si ? S'il n'avait pas mené d'activités en dehors des révisions, ces vacances ? S'il n'avait pas filé en tortillard dans les musées bilboètes, s'il n'avait pas interrogé cet énergumène ?
Ça n'aurait sans doute pas changé grand chose. Et si, et s'il avait travaillé régulièrement au cours de la saison 3 ? Vite, il écarte cette idée saugrenue. Parfois, ce qui lui vient en tête lui fait peur. Il se reconcentre sur sa copie.
Bientôt, les résultats tomberont. Et ce sera bien bas.
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Le spectre (celui des examens) se rapprochait et je ne savais rien du spectre (celui des endormorphismes). La géographie la mieux maîtrisée était celle des rues entre les bars (et bien sûr entre les bars et le foyer, voire de ce dernier à l'université, mais cela est bien moins représentatif). J'étais loin de me douter que cette compétence allait me servir, peu de temps plus tard.
C'est ainsi que je décrochai un stage probable, utilisant à la fois mathématiques et urbanisme. Mais tous les problèmes n'étaient pas réglés : la fin du monde connu et le partiel d'Informatique Théorique approchaient conjointement.
C'est ainsi, que le 21 décembre 2012 du calendrier grégorien, je me retrouvai à une soirée cuir moustache avec un marteau. J'avais ce dernier en raison des chapeaux, précisément, mais il ne m'empêcha pas de jouir, et le mot est bien choisi, de la chère présente. Le lendemain, j'appris que, suppôt du Gouvernement et de ses emplois avenir à venir (puisque la loi n'est toujours pas votée), j'irais travailler au collège que nous nommerons désormais le Fou de Bassens, bien qu'il ne soit qu'en face.
Dès lors, je rentrai, fier et grandi, au domicile maternel, et révisai. Fort heureusement, je ne passais pas mes vacances qu'à ça...
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